Alors que nous sommes déjà quasiment à mi-chemin de ce mois de février fortement chargé en sorties JV (et que la compilation Tomb Raider I-III Remastered sortira, elle, le jour de la St-Valentin), les Français de chez Don’t Nod ont jugé bon de caler la venue de leur Banishers au mardi 13. Ayant pour ma part reçu le projet complet il y a déjà plusieurs semaines, j’estime qu’il est grand temps pour moi de vous livrer mon verdict à son sujet.

Les puristes et les vieux de la vieille le savent très bien : ce studio de développement parisien est un grand habitué des jeux dits « narratifs ». On citera volontiers sur leur CV des titres tels que Tell me Why, Vampyr, Remember Me ou encore Jusant. Des oeuvres tantôt réussies, tantôt étrangement similaires à des oeuvres déjà existantes… Et si en 2015, c’est le fameux Life is Strange qui « s’inspirait » allégrement du film La vie d’Adèle (sorti en 2013), en ce début d’année 2024 c’est un véritable « God of War Ragnarök bis » qui s’apprête à voir le jour.

Banishers: Ghosts of New Eden (puisque c’est son nom complet) est une histoire d’amour teintée de paranormal. Tout du moins en substance. Car en effet, si la trame scénaristique est à saluer, c’est malheureusement du côté du gameplay, de l’aspect technique, ainsi que de la bande originale que le jeu se fourvoie dans un melting pot, que l’on qualifiera volontiers d’indigeste (et desservant au plus haut point son postulat narratif de base).

Vous l’aurez compris, j’ai beaucoup de choses à dire sur ce nouveau AA français. Comme à mon habitude, je vous laisse donc le soin de visionner ma review vidéo complète, disponible dès à présent, juste sous ce paragraphe